Nous risquerons une comparaison par certains aspects posthume et pourtant significative à l'extrême !

 

Un Macron contraint de déployer tout un arsenal répressif et dissuasif même pas pour aller à la rencontre de ses concitoyens , mais avec un public sélectionné, trié, contrôlé pour pouvoir accéder au lieu prédéfini d'un débat sous limitation stricte.

 

 

Les vidéos circulant sur les médias sociaux montrent des manifestants qui se rassemblent devant la police pour les empêcher de passer.

Sur le boulevard Louis Jean Malvy, des manifestants tentent de se frayer un chemin au-delà de la ligne de police, tandis que des chants et des chants sont entendus lorsque les gens demandent la démission de Macron.

Les vidéos circulant sur les médias sociaux montrent des manifestants qui se rassemblent devant la police pour les empêcher de passer.

Sur le boulevard Louis Jean Malvy, des manifestants tentent de se frayer un chemin au-delà de la ligne de police, tandis que des chants et des chants sont entendus lorsque les gens demandent la démission de Macron

 

 

ET

 

 

 

Un Fidel Castro, dans un pays sous embargo, sous menace permanente du grand voisin et qui en toute circonstance (même les plus difficiles comme en période d'exode vers les USA) a pu tranquillement, sans garde rapprochée aller à la rencontre de son peuple et dialoguer directement avec lui.

 

IMMENSE CONTRASTE qui n'a jamais empêché les chiens de garde de hurler à la dictature, au leader maximo !

 

De quoi réfléchir sans doute à la prétention du monde occidental et de ses éditocrates de représenter la démocratie, la tolérance, le respect de la diversité, l'état de droit ...